posté le 05-12-2024 à 09:31:42
Dans un monde de cendres.
Génération ratée, société en perdition,
Politique corrompue, triste condition.
Dans les rues sombres, des âmes égarées,
Cherchant espoir dans la nuit étoilée.
Jeunesse brisée, rêves envolés,
Par un monde sans cœur, désenchanté.
Les voix étouffées, par des actes vils,
Dans ce paysage gris, où tout semble hostile.
Corruption rampante, pouvoir corrompu,
Les valeurs oubliées, l'éthique rendue muette.
La justice bafouée, la morale éteinte,
Dans cet univers sombre, où l'innocence est sans empreinte.
Elwiin 2024
Commentaires
Douce nuit jolie toi ^^
Je me suis endormie entre temps lol un peu ^^
Je dors très mal donc dès fois je pique du nez ^^
Pour répondre à ton commentaire...
Je suis d'accord chacun ses croyances...
Je ne suis pas une influenceuse donc ne t'inquiète pas....
Comme tu ne crois pas à certaines choses je ne préfère pas écrire ^^
Je suis une personne très spirituelle et je communique avec les défunts donc tu comprends mon soucis avec le commentaire que je pourrais laisser...
Les humains sont de plus en plus néfastes justement c'est une cause à conséquence direct avec l'au delà pour ma part....
Bisous
Un écrit très réaliste .....
Je préfère ne pas dire ce que je pense j'ai des fois des façons de voir un peu étrange.....
Bon parcontre fait pas ta radine ta bien une pièce de 2 euro pour moi dans ton bas de laine tes pièces jaunes jmen tape lol
cc ma pote bravo pour ton article je ne sais pas pourquoi mais quand j'ai lu ton article j'ai pensé direct a une chanson de Hubert Félix Thiéfaine qui relate une jeunesse en recherche de repère je t'envoie les paroles et tu écoutera si tu a le temps une chanson que j'écoutais jadis lol ( Les paroles de la chanson
« Exil sur planète fantôme »
En ce temps-là, nos fleurs vendaient leur viande aux chiens
Et nous habitions tous de sordides tripots
Avec des aiguillages pour nos petits matins,
Quand le beau macadam nous traitait de salauds,
Nous traitait de salaud.
Nous vivions nos vertiges dans des vibrations folles
Et gerbions nos enzymes en nous gueulant : moteur!
Mais entre deux voyages, entre deux verres d’alcool,
Nous n’avions pas le temps de décompter nos heures,
De décompter nos heures.
Nous étions les danseurs d’un monde à l’agonie,
En même temps que fantômes conscients d’être mort-nés.
Nous étions fossoyeurs d’un monde à l’agonie.
En ce temps-là, le rien s’appelait quotidien
Et nous allions pointer dans les jobs interdits.
Dans les musiques blêmes, dans les sombres parfums
Dans les dédales obscurs où plane la folie
Où plane la folie
Et nous avions des gueules à briser les miroirs,
À ne montrer nos yeux que dans le contre-jour,
Mais entre deux délires, entre deux idées noires,
Nous étions les plus beaux, nous vivions à rebours,
Nous vivions à rebours.
Nous étions les danseurs d’un monde à l’agonie,
En même temps que fantômes conscients d’être mort-nés.
Nous étions fossoyeurs d’un monde à l’agonie.
En ce temps-là, les gens s’appelaient citoyens.
Nous, nous étions mutants, nous étions androgynes.
Aujourd’hui, la tempête a lynché mes copains
Et je suis le dernier à rater mon suicide,
À rater mon suicide.
Mais je veux vivre encore plus ivre de cramer.
Je veux ronger le mal jusque dans ses recoins.
J’ai traîné mes vingt siècles d’inutilité.
Je n’ai plus rien à perdre, mais j’en veux pour ma fin,
J’en veux pour ma faim
coucou elwiin mince je croyais que tu étais gothique, ton texte est très bien écrit encore une fois bravo !
je te souhaite également une très bonne journée bisous
Je te souhaite une bonne journée , j'ai découvert quelques unes de tes publications hier , mais hélas prise par le temps autre part , je pense n'avoir pas commenté , ce qui fait que je viens en ce jour voir déjà ta dernière publication , j'aime beaucoup ta manière d'exprimer les choses . Je reviendrai dès que je peux .