
Dans le grand livre des mots, un noir indélébile,
La censure présente, effaçant l’invisible.
Sur les murs de la ville, des cris étouffés,
Les plumes se meurent, nos pensées enchaînées.
Oh, regardez ces panneaux, des sourires figés,
Des slogans tout prêts, soigneusement choisis.
La liberté d’expression, un rêve oublié,
Dans un monde de fausseté, où tout est poli.
Les rires sont muselés, les regards baissés,
L’humour se traîne, de peur d’être malmené.
Les comiques en souffrance, les artistes en cage,
Faisons attention, la vérité est un mirage.
Sur les réseaux, l’algorithme fait sa loi,
Un doigt sur la touche, et voilà le pipeau.
La vérité qui dérange, disparue dans l’atmosphère,
Au pays des muets, bien peu d’éclaircissements clairs.
Ah! Mais que serait un monde sans ce déni,
Où chaque opinion est soigneusement choisie ?
Rions de la censure, comme d’un pauvre clown,
Oui, elle est partout, mais jamais à la une.
Alors, inondons le paysage de notre verbe,
Brisons les chaînes, laissez les cœurs en gerbe.
La censure est là, un spectre sous nos pas,
Mais tant qu’il y a des mots, nous danserons, ma foi !
Commentaires
Quand la parole se tait, le monde perd ses couleurs
les idées s’effacent et la pensée s’appauvrit
Oh bel écrit ^^
Sympa la photo ^^
Punaise çà fait du bien de te relire ^^
Coucou Obeline,
Merci pour mon texte et pour le cadeau que tu m'avais fait il est tout à fait normal que je le mette...
Gros bisous.
coucou magnifiquement bien dit ton poème, j'ai vu une de mes créas que je t'avais faite ohhh merci de l'avoir mise c'est gentil !!! le doigt d'honneur j'aime bien j'em.....le peuple je suis d'accord !
je te souhaite un bon apres midi elwiin gros bisous
encore quelques jours et une bonne petite pause la familla debarque bisou mon amie elwinn bonne fin de semaine